N’y tenant plus, je m’étais levée, j’avais pris le dernier de mes journaux intimes, ces carnets qui m’aident aujourd’hui à reconstituer ma rocambolesque jeunesse, et l’avais ouvert à une page couverte de ratures.
Depuis le début de l’année, chaque fois que je croyais deviner qui, d’Arsène ou de Sherlock, l’avait glissé dans ma poche, j’écrivais son nom.
Le temps passant, hypothèses et ratures s’étaient succédé jusqu’à atteindre le nombre de vingt.