Je sais pas combien de temps nous sommes tous restés autour du lit de mon grand-père, mais au bout de je ne sais combien de temps la voix d’une infirmière est venue briser le silence de mort qui régnait dans la pièce.
Elle s’est excusée en nous disant doucement qu’il fallait partir pour laisser les employés de la morgue faire leur travail. En entendant le mot morgue, je me suis mise à frissonner.