Parce qu'on est si vulnérable quand on n'est plus celui qu'on était , mais pas encore celui qu'on va devenir. Si vulnérable, si influençable, si dépouillé de soi-même, si nu et si pressé de se revêtir, que la moindre parole retentit comme un ordre qui nous pousse une fois de plus dans la mauvaise direction.