Tout cela me donne le sentiment d’avoir prolongé au delà de la naissance le séjour dans l’utérus maternel, un monde clos, étroit, chaud, où je sens la pulsion du sang et les remous du liquide amniotique, un monde d’où je n’ai pas encore envie de m’échapper, ou je goute aux derniers moments de paix, de sécurité.