L’avantage d’avoir grandi dans une ville c’est qu’on y prend l’habitude d’aller pieds nus, tandis que je voyais mes collègues de l’université trébucher sur leurs hauts talons noyés par la boue, ou glisser dans leurs tongs, en battant des bras comme des oiseaux sur la banquise. (Stock, p109)