Nulle ombre de peur ou de mal ne hantait les lieux, mais une épouvante sacrée s'empara de Tuor à la pensée de tous ceux qui avaient vécu là et s'en étaient allés, personne ne savait où : le peuple fier épargné par la mort mais condamné par le destin, venu des terres lointaines, de l'au-delà des Mers.
De Tuor et de sa venue à Gondolin.