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Critiques de Jack Henry Hopper (4)
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Bon, n'y allons pas par quatre chemins, c'est une bd porno. A partir de là, il faut "admettre" ce genre pour porter une critique "objective". C'est ce que je vais m'efforcer de faire.



Donc merci à Masse critique pour m'avoir permis de découvrir le premier tome de cette série. Je l'ai choisi en toute connaissance de cause, car le genre m'intéresse. Je ne suis donc pas dans le même cas que le collègue qui est tombé "par hasard" sur ce livre, et qui a mis 1 seule étoile au livre.



L'histoire est assez simple, une jeune veuve, lesbienne, en Chine, devient responsable d'une section spécialisée dans les tortures sado maso, ceci pour sauver sa peau. C'est le premier épisode d'une série.



Donc c'est violent, érotique, même pornographique. Tout, tous et toutes y passent, je ne vais pas entrer dans les détails, la BD entre déjà dans tout ce qu'elle peut.



Je dois dire que c'est réussi, dans le genre. J'ose dire que c'est de qualité. C'est porno mais pas vulgaire. Explicite. Le dessin est plutôt pas mal, les seins sont très réussis. Et la BD, qui est une réédition, date d'une époque ou l'épilation n'était pas encore à la mode.



Donc pour résumer, si on est attiré par le genre, on peut y aller sans souci. Et si on n'aime pas le genre, on passe son chemin. J'ajoute aussi que ma femme a lu et a apprécié.
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J’ai reçu cette bande dessinée dans le cadre de masse critique et je remercie Babelio et les éditions Dynamite de me l’avoir confié.



Nous sommes en 1927, à Shanghai. Evelyne Despiault est veuve d’un résistant tué par erreur par les forces révolutionnaires. C’est une lesbienne dominatrice et particulièrement cruelle. Elle est arrêtée par la guérilla communiste qui va la contraindre de diriger une section spéciale. Cette section est chargée, sous la torture spécialisée dans les sévices sexuels, le sadomasochisme, de mener des interrogatoires. Grâce à sa nouvelle fonction, Evelyne va pouvoir exprimer sa lubricité jusqu’à sa substantifique moelle. Au-delà de son plaisir, la belle et cruelle dominatrice, à la défiance endormie par le stupre, avance peut-être vers un destin plus sombre. …



J’avoue, un peu frustré d’avoir raté deux opérations masse critique, que pour celle-ci, consacrée aux mangas et à la bande dessinée, j’ai d’abord coché des ouvrages que j’avais vraiment envie de découvrir et pleins d’autres, par dépit et au hasard. Pour certains, je me suis dit : pourvu que je n’obtienne pas celui-là, juste par préjugé sur la couverture ou à cause du résumé ou bien des deux. Cette bande dessinée, malheureusement, était dans la seconde catégorie. Comme le dit si bien mon plus jeune frère : « Allez, fais pas la gueule, Bouvy ! »



Pour commencer, la présentation est assez étonnante. Ce n’est pas un album cartonné mais une fois dans les mains, je me retrouve avec un livre mince, souple, qui ressemble d’avantage à un magazine qu’à un vrai livre. (Dire qu’un magazine n’est pas un vrai livre n’engage que moi).

Je trouve le dessin de la couverture aussi laid et mal proportionné que lors de ma première impression. Les couleurs sont criardes et agressives. Bon, je l’ouvre et soupire de soulagement, la bande dessinée est en noir & blanc. Le graphisme ressemble à celui de la couverture. Les dessins sont surchargés, les visages, qu’ils soient masculins ou féminins, européens ou asiatiques se confondent. Je reste sur mon impression négative, le graphisme de cet auteur ne me plait définitivement pas. Reste l’histoire et le scénario. Tout est axé autour du sexe, évidemment. L’érotisme ne m’effraye pas, que du contraire mais le côté souffrance qui donne du plaisir, je ne suis pas amateur de ce type d’érotisme. Ici, tout est torture. En plus, les dialogues ne sont guère développés Par contre, l’auteur nous gratifie de longs textes encadrés, presqu’à chaque case de cette bande dessinée. Très vite, cela devient lassant. Par d’inutiles circonvolutions, dans ces textes sont décrites toutes les actions de pelotage, d’intromission,de masturbation, de fellation et de cunnilingus et autres délices licencieux. Ça ressemble à un mode d’emploi « du cul ». C’est navrant et très vite lassant.



Juste pour conclure, vraiment, j’enterre ce bouquin et j’oublie que cet auteur arrive à trouver des éditeurs. Bref, je n’aime pas et c’est contraint que je lui mets une étoile faute de ne pouvoir en mettre aucune.

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Certains pour avoir des informations créent des prisons comme Guantanamo alors que d'autres, comme en Chine, décident d'utiliser le sexe. Pour cela, les dirigeants pourraient trouver de l'inspiration sur internet non censuré mais il préfère confié les missions de tortures à une grande prêtresse qui va mélanger souffrance et plaisir. Prêt à aller à sa rencontre?



Direction Shangaï, en 1927, où nous allons à la rencontre d'Evelyne Despiault. Une jeune veuve, d'un ancien résistant tué malencontreusement se retrouve dans une situation bien contraignante. Elle était tranquillement chez elle entrain de faire un sévice sexuel à jeune homme venu pour cela lorsque l'armée débarque chez elle. C'et à moitié dénudé, les mains attachées sous le regard de ces voisins qu'elle est emmenée au responsable de la guérilla communiste. Elle est réputée pour son savoir faire et va devoir accepter un porte de responsable dans une section spéciale (d'où le titre), spécialisée dans la torture sexuelle.



Elle ne peut refuser. Et le général Tchan-Teh le sait bien. C'est pour cela qu'il met à son service des personnes de sa famille qui s'y connaissent bien en torture et qui sont très douées avec leurs langues et les doigts. Après une petite démonstration, c'est à elle de prendre la main. Le corps humain n'a pas de secret et elle fera dire à quiconque tout ce qu'il sait. Après tant d'effort, une bonne séance à trois se mérite bien. Alors, elle va mettre son savoir faire aux services de ces hôtes pour montrer qui est le chef. Après, elle réfléchira à une stratégie pour s'enfuir.



Je n'aime pas du tout le dessin qui mériterait d'être un peu moins approximatif et grossier. Je ne m'attendais pas non plus à voir du Manara. C'est le problème quand on débute avec le haut du panier. Après l'histoire se laisse lire avec des scènes sexuelles en gros plans. La souffrance et la torture sont présents à chaque page, peut-être trop. L'auteur a beaucoup d'imagination et a du y prendre beaucoup de plaisir à imaginer autant de rapports sexuels lesbiens et des scènes de viol. D'ailleurs, il voulait peut-être rester anonyme car l'éditeur Dynamite le cherche encore pour lui payer ces droits. Vous ne voyez pas souvent des pénis en très gros plan comme des vagins, vous allez être servi.



Si vous avez envie d'un porno un peu trash avec du sexe à toutes les pages vous trouverez votre bonheur dans ce premier tome des sections spéciales.
Lien : https://22h05ruedesdames.wor..
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Une série en devenir qui mérite d'être redécouverte et qui donne envie de lire la suite !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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