La vie continue, jour après jour. Je joue à être quelqu’un que je ne suis pas, à porter mon moi comme un masque, posé sur la béance qu’a laissée dans ma vie ton absence. Tu me manques. Que je marche, dorme, mange, chevauche, parle ou respire, tu me manques. C’est une constante fondamentale de mon existence. Le fait que j’aie du mal à le supporter et que je déteste ça n’y change rien.
Tu me manques.