On vit plusieurs fois cette scène atroce: le SS se suspendant aux jambes du condamné et donnant des secousses, ou le frappant du poing, ou avec l'échelle, quand le malheureux était agité de spasmes. Les SS achevèrent à la mitraillette ou au pistolet ceux qu'ils trouvaient trop lents à mourir. (p.385)