Les Medicis faisaient partie du paysage politique de Florence et, déjà, de son histoire. Le maître (Laurent) se montrait à tout moment. Il paraissait par les rues et donnait des gages, soutenait ferme ses partisans, récompensait sans rechigner les hommes de bonne volonté et savait séduire le commun des citoyens. Personne ne songeait alors à l'appeler "le Magnifique" mais on le disait généreux, appliqué à contenter : panem et cirsenses.