Stendhal, à l'évidence. Non que Flaubert ne soit pas un écrivain magnifique, mais il y a une sorte de religion flaubertienne de la forme et du travail qui m'exaspère. Je suis plus du côté de Balzac et de Stendhal. Toutefois, relire Trois contes, texte extraordinaire de Flaubert, en l'intercalant avec des Chroniques italiennes de Stendhal, est une expérience qui me procure un pur bonheur.