La crise de notre monde vient de l'oubli de la responsabilité qui incombe à chacun, de la tentation de ne pas écouter sa conscience et de baisser les gardes: "nous disons que la grande machinerie anonyme, que nous avons créée, ne fonctionne pas et nous rend esclaves; mais nous ne faisons rien contre elle".Or, l'Etat et sa bureaucratie doivent toujours être critiqués, voire jugés, au tribunal de la conscience de chacun.