Elle n’est pas romantique de nature. Elle n’est pas sensible aux contes de fées ni au genre d’absurdités qu’on trouve dans les chansons d’amour profanes. Mais ce en quoi elle croit, et en quoi elle a confiance par-dessus tout, c’est au baptême dans le Saint-Esprit. Et quand les yeux de Peter s’ouvrirent ce soir-là, mouillés et presque déments d’épuisement émotionnel, elle le vit dépourvu de son ego et de ses défenses, exposé dans toute son incomplétude humaine, tout son émerveillement, et elle apprécia l’homme qui avait été révélé.