J'ai écrit "Shogun" pour combler un fossé entre l'Est et l'Ouest, et pour tenter d'expliquer la culture du Soleil Levant aux occidentaux par la biais de la fiction. L’œuvre est passionnément pro-Japonaise et l'ai conçue avec soin et amour. D'une certaine façon, c'est mon cadeau au Japon.