— Alors pourquoi est-ce que tu ne reprends pas ta vie en oubliant que je suis revenu ?
— Je… je ne sais pas, balbutia-t-elle.
— Tu ne sais pas ? Tu ne sais pas ? Alors pourquoi est-ce que tu ne fiches pas le camp d’ici et tu ne me laisses pas tranquille ?
— Parce que je t’aime !
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