Les mots étaient comme un plaisir murmuré. Ils exprimaient une partie de moi. J’avais quatre carnets remplies de poésies de ces dernières années, et celui du moment était déjà aux deux tiers. La poésie était mon seul plaisir dans la vie, la seule chose qui m’autorisait à avoir un tant soit peu de personnalité, ma seule forme d’expression.