3 Elle est debout, poussant des gémissements et des râles réguliers, une jambe en l’air, les seins ballottant, les yeux fermés, la bouche ouverte, la langue a moitié dehors, se doigtant la chatte pendant que le gros la sodomise. Je ne reconnais plus ma femme. Je commence à ressentir de la jalousie en la voyant, si belle, totalement offerte à ce gros pervers, plus qu’elle ne le ferait pour moi. Mon éprit est complètement troublé partagé par cette jalousie qui se réveille, et la vue de cette jeune femme superbe, ma femme, possédée sexuellement devant moi par cet homme dépravé, et qui me pousse à me branler.