II L'HOMME DE VERRE
Extrait 5
§§ d
Croire a la transparence de l’homme, c’est commettre
un péché d’angélisme. Qui s’imagine que le magnétisme
de l’Harmonie universelle nous conduira au sommet de
l’évolution des êtres organisés, voire à la perfection d’un
être lumineux comme un ange, ne fait que croiser le
regard du singe qui grimace a son pied.
p.40-41