Ainsi commence à se dessiner la physionomie mentale d'un homme riche, sans foi et sans Dieu. Il n'est plus occupé que quelques dizaines de milliers d'heures sur sept cent mille, aux tâches traditionnelles de la prière et du travail. Au-delà de la frénésie quotidienne, du bricolage, de la pelouse à tondre et des voyages organisés, il est seul, en face de lui-même, n'ayant (presque) rien à faire, sinon penser à des choses bizarres qu'il ne comprend pas.