TOUT CE QUI NE CAUSA PAS MA MORT
Marie
Marie
Je vous prie quand le feu nous regarde
Et quand vos mains
Si tendres qu’elles furent
Nous ignorent à l’heure du désespoir
Je vous demande
Si nos granges en feu
Ressemblent à ces mots d’amour
Qui bordent la lumière du matin
Lorsque la pluie éveille
Les passants de sa danse anxieuse.
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