La « magie » de Merlin, quelle que soit sa redoutable efficacité, bute sur le libre arbitre humain. D’ailleurs, il greffe souvent sa propre action sur la libre action des autres : ainsi en est-il de la naissance du futur roi Arthur, fils du péché, fils d’un roi débauché et adultère dont Merlin favorisa l’intolérable et odieuse attitude pour mieux posséder et modeler l’enfant à naître, en qui il mettra tous ses espoirs.