Nationalité : France
Né(e) le : 31/07/1903 Mort(e) à : Lyon , 2000
Biographie :
Jean-Marie Rivière dit Jean Marquès-Rivière est un écrivain et Journaliste français.
Avant de glisser vers un antimaçonnisme de type paranoïaque, il a commencé à fréquenter la Société Théosophique, puis à été reçu à la Grande Logé de France. Il publie des articles dans la revue théosophique (1928-29) alors qu'il est encore étudiant à la Sorbonne.
Il rencontre René Gunn qui l'introduit dans le cercle du Voile d'Isis revue où il publiera des articles entre 1930 et 1931.
Il étudie le sanscrit, le tibétain, le bouddhisme tibétain et le tantrisme, contribuant à la diffusion du thème de l'Agarttha.
En 1931, il rompt avec les milieux maçonniques en publiant "La trahison spirituelle de la Franc-Maçonnerie", puis lance une revue antimaçonnique "Les documents nouveaux".
Sous l'Occupation, il sera un collaborateur zélé des nazis. Il deviendra co-rédacteur des "Documents maçonniques" (33 fascicules parus entre 1941 et 1944), dirigé l'un des services de renseignements sur les sociétés secrètes, devient agent de l'Abwehr et co-organise l'exposition antimaçonnique du Petit Palais "La Franc-Maçonnerie dévoilée" dont il écrira le catalogue, puis il rédigera le catalogue de l'exposition "Le Juif et la France", et le scénario du film de propagande antimaçonnique "Forces occultes" réalisé par Paul Riche.
Après la guerre, il est condamné à mort par contumace mais échappe à l'exécution. Il obtient ensuite, dans l'Espagne franquiste, une chaire d'orientaliste à Madrid.
Gardiens de l’antique connaissance perdue, et qui possèdent dans leurs archives l’histoire de l’Atlantide et de la Lémurie et aussi l’histoire de l’humanité future dont ils ont la vision par clairvoyance, des hommes supérieurs auraient trouvé refuge au sein d’un centre spirituel caché dans la mystérieuse cité de Samballah au Tibet.