Le ciel était gris sans plus, et cela me convenait. Ce jour-là, avec mon habitude de lire toujours le plus grand nombre possible d’inscriptions, je ne voyais que des slogans. Je devais être un peu nerveux, je ne voyais que des slogans. Je farfelunais, à reprises dans ma tête : « ce monde pitoyable qui ne peut fonctionner que par slogans... quoi, ce monde qui ne peut fonctionner que par slogans... » Mon attitude était bien drôle, quand partout on s'en accommodait ferme...