Une machine technologique folle, guidée par la seule soif d'aller toujours plus loin et d'être toujours plus rentable, s'est mise en marche. Hans Jonas n'est pas en reste lorsqu'il convient qu’ “il est indéniable que nous devenons progressivement les prisonniers des processus que nous avons déclenchés nous-même [...] sans fixation d'un but, presque à la manière d'un destin.