La guerre, quand elle est arrivée dans les maisons, les premières heures, faut être honnête, elle a charmé son monde comme un chiot dans son petit panier tricolore, mais elle a mal grandi, la bestiole ! On imaginait qu'elle nous ramènerait la victoire dans la gueule, en gardant le poil propre et le fusil en bandoulière ! On s'était gourés de clébard !