Toute histoire a sa vulgate. Ainsi oppose-t-on le caractère artificiel, voire "antinaturel" des jardins réguliers, et spécialement de ceux dits "à la française", au "libre naturel" des jardins dits "à l'anglaise". Poncif simpliste, même si les partisans de l'une et de l'autre manière eurent tendance à débattre dans ces termes faussés au cours du XVIIIème siècle.