Belleface avait appris en Indochine qu’un soldat qui se baigne sans être couvert par ses camarades est un soldat mort. Aucun homme de son équipe ne se trempait donc dans l’eau sans être accompagné par une sentinelle armée. Aucun ne se baignait non plus sur la plage, où il aurait été si facile, pour un ennemi plus nombreux, de bénéficier d’un double avantage : celui de l’effet de surprise et du terrain à découvert. (page 102)