Ainsi reviendra-t-il, tout droit vers Saint-Malo,
Lui que nous attendons, le gas parti sur l'eau.
Cher petit-fils, dernier descendant de ma race !
Avant que de mourir, il faut que je l'embrasse ;
Et je l'embrasserai, vois-tu, j'en suis certain.
Nous l'embrasserons tous, Janik. Un beau matin,
Il nous débarquera de sa nef pavoisée,
Et cousine Janik deviendra l'épousée
D'un riche capitaine et d'un vaillant garçon,
Fidèle et cousu d'or, comme dans la chanson ...