CHANGE EST MON PARADIS
extrait 1
En ce temps-là
je me perdais
dans le miroir aux alouettes
que me tendait
un petit dieu pervers.
En ce temps-là
le temps ne passait pas,
Je lisais
les Chasses du Comte Z.
et vivais dans l’effroi
de LA voir surgir
de l’ombre giboyeuse.
Profitant
d’un reste de jour
je suis sorti,
le soir tombait
l’orage grondait encore
du côté de Montsalvy.