Tjall: Des moustiques, des fourmis géantes, des serpents, des sangsues et des milliers d'autres affreuses bestioles qui n'ont même pas de nom... C'est vraiment le paradis, ici!...
Thorgal: Ça ne te ferait rien d'économiser ton souffle?
Tjall: Pourquoi? Pour chanter une joyeuse chanson, ce soir, au coin du feu, après le délicieux repas qui nous attend? Plus vite je l'aurai perdu, mon souffle, et mieux cela vaudra.
Thorgal: Si ça pouvait seulement t'empêcher de jacasser comme une vieille grand-mère édentée.