"celui qui reste silencieux devant un meurtre se fait complice de l'assassin. Qui ne dit mot consent. (...) Nous ne voulons pas être des Pilate". Par ces mots, l'écrivain catholique polonaise Zofia Kossak conclut, en août 1942, une longue "protestation" contre l'assassinat du ghetto de Varsovie.