Je voulais qu'ils fassent exactement ce qu'ils ont fait, monsieur. J'ai tué leur capitaine avec le fusil de Gaufredi, ce qui a eu deux conséquences avantageuses : ils n'ont plus de chef, sinon des lieutenant sans envergure, et ils ont voulu se venger. Or la colère est mauvaise conseillère dans les batailles. Ils ont attaqué sans réfléchir, sans mesurer notre force. Cet aveuglement coûte toujours cher !