Sissi est élevée dans l’ignorance des contraintes. Elle guette l’arrivée de son père et envahit son cabinet de travail où il tente, d’une plume appliquée, de réveiller une inspiration lasse. La poésie est le péché mignon des Wittelsbach.
Sa mère essaie de gommer les excentricités de son époux et s’efforce de remettre un peu d’ordre dans cette vie qui en est totalement dépourvue. Les poètes n’ont pas d’ordre, les mères de famille conservent le sens des réalités.