Une fois la camionnette chargée et expédiée vers sa destination, je me suis entièrement déshabillée et j’ai donné un coup de pied au canapé que j’étais sur le point d’abandonner. Et pas une caresse, hein. J’ai vraiment mis le paquet.
Ce fichu canapé ! Le poil hirsute, marron foncé, il était inconfortable et puait l’humidité ; ses accoudoirs étaient lustrés par l’usure et la crasse. Nue comme un ver, presque trentenaire, je n’ai rien trouvé de mieux à faire que de le défoncer à coups de pied. C’était jouissif.