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Quoi de plus énervant qu’un merdeux qui, du haut de sa quinzaine d’années, joue les caïds avec un aplomb insolent et un langage qui ferait pâlir un cow-boy !
« Si tu veux niquer c’bâtard, faut arrêter de chier dans son froc ! »
[…]
Ensuite on m’a gentiment prié d’aller découvrir le monde avec pour tout bagage deux ou trois biffetons, et un coup de pied au cul !