Debout face à l'immense coquille de caoutchouc large de 4 mètres et haute de 6, Enrico Ferm observait son équipe avec un mélange de fierté et de crainte.
Il avait devant lui l'œuvre de sa vie, ici, dans ce terrain de sport désaffecté, dissimulé au milieu d'une vile étrangère, au sein d'un pays qui lui ne l'était pas. Un pays dont il tenait le futur entre ses mains