Cependant, la maladie est pire que la mort. Quand le corps commence à pourrir, vous perdez votre dignité et de respect de vous-mêmes. Vous êtes obligés de vous allonger, d’exposer votre faiblesse et vos carences au monde, et de permettre aux médecins d’ausculter et d’inspecter tous vos orifices bien gardés jusqu’alors.
(Flammarion, p. 429)