Une fois qu’ils ont réalisé que, plus ils me martyrisaient, plus maman était contente, ils ont profité de
chaque occasion pour déverser leur haine sur moi et satisfaire leurs pulsions sadiques. Tout comme avant,
ils crachaient dans ma nourriture et la jetaient par terre, me forçant à la lécher comme un chien, ce qui
était cent fois pire sur les briques sales et crasseuses de la cave que sur le sol impeccable de la cuisine
de maman