Le quotidien du banquier privé, comme Brue aimait à pontifier après un ou deux scotchs en agréable compagnie, n'était pas, contrairement à ce que l'on pourrait se figurer, l'argent. Ce n'était pas les marchés haussiers ou baissiers, les fonds spéculatifs ni les produits dérivés. C'était les emmerdes. C'était la montée régulière,pour ne pas dire permanente, de la matière fécale jusqu'au cou, passer moi l'expression.