Le public aime tout autant la partie émotionnelle (revivre une vie) que la partie intellectuelle (chercher à comprendre le puzzle).
Toute bonne histoire doit être composée de ces deux parties. Mais il existe tout un éventail de formes de fictions, qui s'étend d'un extrême à l'autre, du mélodrame sentimental à la plus cérébrale des histoires policières.