Sabine lui avait dit un jour qu'elle répartissait les filles de sa classe en deux groupes : les "radiateurs" et les "pompes", les premières étant ces filles populaires qui manifestaient de l'intérêt et de l'enthousiasme, attirant de ce fait leurs camarades, les autres étant ni plus ni moins... des pompes qui aspiraient l'ambiance et la bonne volonté comme le vide.