- [...] Vous savez, le journal va très mal financièrement : nous survivons parce que les locaux nous sont prêtés par la mairie. Les gens ne lisent plus la presse aujourd’hui, les annonceurs ne sont plus intéressés. Avant, nous étions un journal régional important, lu et respecté. Aujourd’hui, pourquoi liriez-vous l’Orphea Chronicle quand vous pouvez lire le New York Times en ligne ? Et je ne vous parle même pas de ceux qui ne lisent plus rien et se contentent de s’informer sur Facebook.