Les réveils dans la grotte, admet Dagon, étaient vraiment déprimants. Vous ouvriez l'oeil et vous trouviez en face de vous des types en train de ronfler. Il n'y avait rien à manger et tout ce qu'on avait comme perspective, c'était de passer une nouvelle journée à se regarder les uns les autres en chiens de faïence dans ce trou de glace.