Si mes dernières heures ont lieu sous d’autres cieux, mes dernières pensées seront pour ce peuple, et surtout pour toi, Fidel… L’idée de ne laisser aucune possession matérielle à ma femme et à mes enfants ne me préoccupe pas. Je suis heureux qu’il en soit ainsi. Je ne demande rien pour eux puisque l’État pourvoira à leurs besoins et à leur éducation…
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