[...] une meilleure connaissance de nous-mêmes doit certainement nous fortifier contre les assauts perfides et sournois de la flatterie. Elle révèle chez celui qui y est sensible tant de faiblesse et de sottise, qu l'on a du mal à dire lequel des deux est le plus à blâmer.
(dans "Sermon sur la difficulté de se connaître soi-même")