Citation de LesLecturesdOriane
« Mon crayon se figea sur le papier, et je levai automatiquement les yeux vers le calendrier. N’importe quel autre jour, j’aurais au moins tenté de m’adapter à sa demande. Mais pas aujourd’hui. Pas pour la Saint-Valentin.
Je n’avais jamais pris note de cette date auparavant, sauf peut-être pour me moquer des imbéciles obligés de se traîner dans les boutiques pour apaiser leurs épouses ou leurs promises. Mais cette année était différente.
J’étais amoureux.
D’autant plus que j’étais amoureux d’un homme qui, avec son intelligence et son pédigrée, aurait pu choisir parmi une douzaine de prétendants. Whyborne et moi n’étions ensemble que depuis deux mois, aussi étais-je absolument déterminé à rendre l’occasion parfaite, pour lui prouver qu’il avait fait le bon choix en acceptant d’emménager chez moi.
J’avais planifié toute la soirée, c’était une surprise. Dîner au Calmar. Deux billets pour le théâtre.
En chemin vers la maison après avoir acheté les billets, j’étais passé devant la Papeterie Kryer et Panova, sur la rue du Fleuve. Les cartes colorées présentées en vitrine accrochèrent mon regard et je ralentis l’allure. L’une d’elles, sûrement, serait la touche finale parfaite à notre soirée. »
Je n’avais jamais pris note de cette date auparavant, sauf peut-être pour me moquer des imbéciles obligés de se traîner dans les boutiques pour apaiser leurs épouses ou leurs promises. Mais cette année était différente.
J’étais amoureux.
D’autant plus que j’étais amoureux d’un homme qui, avec son intelligence et son pédigrée, aurait pu choisir parmi une douzaine de prétendants. Whyborne et moi n’étions ensemble que depuis deux mois, aussi étais-je absolument déterminé à rendre l’occasion parfaite, pour lui prouver qu’il avait fait le bon choix en acceptant d’emménager chez moi.
J’avais planifié toute la soirée, c’était une surprise. Dîner au Calmar. Deux billets pour le théâtre.
En chemin vers la maison après avoir acheté les billets, j’étais passé devant la Papeterie Kryer et Panova, sur la rue du Fleuve. Les cartes colorées présentées en vitrine accrochèrent mon regard et je ralentis l’allure. L’une d’elles, sûrement, serait la touche finale parfaite à notre soirée. »