Tous les maux étaient arrivés parce que les êtres humains faisaient dépendre leur bonheur des choses qu'ils apprécient, qu'il sagisse du désir de richesse, de l'ambition d'être célèbre, ou même des plaisirs sensuels. Lorsque, au contraire, on ne désir pas une chose, il n'y a pas de conflit autour d'elle, pas de tristesse ou de haine ni, à proprement parler, de perturbation de l'esprit. Tout les maux naissent, en fin de compte, du désir pour les choses éphémères.