L'aube ouvrit la journée et les yeux du guerrier blanc. La lumière du matin dissipa les rêves de la nuit et arracha de son âme le souvenir de ce qu'il avait rêvé. Il n'en subsista qu'une vague sensation, comme subsiste dans le buisson le parfum de la fleur que le vent de la serra effeuille au petit matin.
Il ne savait pas où il se trouvait.