On a vu sur la fin du dix-septième siècle les lois sur la sorcellerie perdre de leur sévérité. On punissait encore de peines corporelles les pratiques superstitieuses : c'était uniquement quand on y joignait l'impiété et le sacrilège, « sous prétexte de prétendues magies, » que le coupable était puni de mort.