Ma seule distraction, c’est une hirondelle qui a niché dans la pièce, près de la fenêtre : l’oiseau ne cesse d’aller et venir, occupé à nourrir ses petits qui paillent. Quand je la regarde s’activer, c’est le monde de la forêt qui m’enveloppe, comme un réconfort. Je passe des heures à l’observer.